Nous qui habitons la
“vieille Europe”, qui sommes imbus de “sagesse” — c'est ce que beaucoup
croient —, nous sommes loin de soupçonner la richesse de la "jeune"
Église d'Afrique, une Église pleine d'avenir et scellée dans le sang des
déjà nombreux martyrs.
L'Église qui est en
Afrique prie — comme toutes les autres — mais la prière africaine a une
saveur, un parfum incomparable, un parfum d'innocence et de virginité
que l'on ne trouve pas ailleurs, particulièrement dans nos contrées ou
tout semble stéréotypé, pour ne pas dire sclérosé.
Les poèmes spirituels —
dont nous vous offrons quelques exemples — respirent le même parfum, le
parfum qu'exhale le Cantique des Cantiques. Il suffira de lire “La
prière du matin” d'Antoine Toffa pour s'en rendre compte.
Le premier diocèse qui fait
l'objet de nos pages sur l'Église d'Afrique, est celui d'Aného, situé
sur la côte atlantique, à environ 45 kilomètres de la capitale du pays:
Lomé.
Un autre diocèse vient
s'inscrire maintenant sur les pages de notre site: celui de Dapaong,
situé tout au nord du pays. |