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Le Petit Journal
1208. Neuvaine à la Miséricorde
Divine que Jésus m’ordonna d’écrire et de réciter avant la Fête de la
Miséricorde. On la commence le Vendredi Saint. « Je désire que, durant ces neuf
jours, tu amènes les âmes à la source de Ma Miséricorde, afin qu’elles puisent
force et soulagement, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les
difficultés de la vie et particulièrement à l’heure de la mort. Chaque jour tu
amèneras jusqu’à mon Cœur un nouveau groupe d’âmes et tu les plongeras dans
l’immensité de Ma Miséricorde. Et moi je les conduirai toutes dans la maison de
Mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l’autre. Je ne refuserai rien à
toute âme que tu amèneras à la source de Ma Miséricorde. Et chaque jour tu
imploreras Mon Père, au nom de Ma douloureuse Passion de t’accorder des grâces
pour ces âmes-là. » Premier jour 1209. « Aujourd’hui, amène-Moi l’humanité entière, particulièrement les pécheurs. Immerge-les dans l’immensité de Ma Miséricorde. Tu Me consoleras ainsi de cette amère tristesse dans laquelle Me plonge la perte des âmes. »
1210. Très Miséricordieux Jésus,
dont le propre est d’avoir pitié de nous et de nous pardonner, ne regardez pas
nos péchés, mais la confiance que nous avons en Votre infinie bonté.
Recevez-nous dans la demeure de Votre Cœur Très Miséricordieux et ne permettez
pas que nous en sortions pour l’éternité. Nous Vous en supplions par l’amour 0
Deuxième jour 1211. « Aujourd’hui amène-Moi les âmes sacerdotales et religieuses, et plonges-les dans Mon insondable Miséricorde. Elles ont bien fait durer Mon amer supplice. Par elles comme par des canaux, Ma Miséricorde s’écoule sur l’humanité. » 1212. Très Miséricordieux Jésus, de qui provient tout ce qui est bon, multipliez Vos grâces en nous, afin que nous accomplissions dignement les actes de Miséricorde, et que notre prochain en glorifie le Père de Miséricorde qui est au Cieux.
Jaillie de la mer de Miséricorde,
Père Eternel, jetez un regard de Miséricorde sur ce groupe d’élus au cœur de Votre vigne : les âmes sacerdotales et religieuses. Accordez-leur les bienfaits de Votre bénédiction. Par amour pour le Cœur de Votre fils qui est leur demeure, concédez-leur le pouvoir de Votre lumière, afin qu’elles puissent guider les autres sur le chemin du salut, et qu’elles puissent toutes ensemble rendre hommage à Votre insondable Miséricorde pour l’éternité. Amen. Troisième jour 1213. « Aujourd’hui, amène-moi toutes les âmes pieuses et fidèles et plonge-les dans l’océan de Ma Miséricorde. Ces âmes me consolèrent sur le chemin du Calvaire. Elles furent cette goutte de consolation dans un océan d’amertume. »
1214. Très Miséricordieux Jésus qui
accordez surabondamment le trésor de Votre Miséricorde à tous, recevez-nous tous
ans la demeure de Votre Cœur Très Compatissant. Et ne nous en laissez pas sortir
pour l’éternité, je Vous en supplie par cet inconcevable amour dont brûle Votre
Cœur pour le Père Céleste. Père Eternel, jetez un regard de Miséricorde sur les âmes fidèles, héritage de Votre Fils. Par Sa douloureuse Passion, accordez leurs Votre bénédiction et entourez-les de Votre incessante protection afin qu’elles ne perdent l’amour ni le trésor de la Sainte Foi, mais qu’elles glorifient Votre infinie Miséricorde avec le chœur des Anges et des Saints pour l’éternité. Amen. Quatrième jour 1215. « Aujourd’hui, amène-moi les païens et ceux qui ne Me connaissent pas encore. Je pensais aussi à eux durant Ma douloureuse Passion, et leur zèle futur consolait Mon Cœur. Plonge-les dans l’immensité de Ma Miséricorde. » 1216. Très compatissant Jésus qui êtes la lumière du monde, recevez dans la demeure de Votre Cœur Très Compatissant les âmes des païens et de ceux qui ne Vous connaissent pas encore. Que les rayons de Votre Grâce les illuminent, afin qu’elles aussi glorifient avec nous les merveilles de Votre Miséricorde. Et ne les laissez pas sortir de la demeure de Votre Cœur Très Compatissant.
Faites que la lumière de Votre
amour, mon Dieu, Père Eternel, jetez un regard de Miséricorde sur les âmes des païens et de tous ceux qui ne Vous connaissent pas encore, mais qui sont enfermés dans le Cœur Très Compatissant de Jésus. Attirez-les vers la lumière de l’Evangile. Elles ne savent pas combien est grand le bonheur de Vous aimer. Faites donc qu’elles aussi, puissent glorifier la munificence de Votre Miséricorde dans les siècles des siècles. Amen. Cinquième jour. 1217. « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes des hérétiques et des apostats. Plonge-les dans l’immensité de Ma Miséricorde. Dans Mon amère Passion, elles Me déchiraient le Corps et le Cœur, c’est-à-dire Mon Eglise. Lorsqu’elles reviendront à l’unité de l’Eglise alors se cicatriseront Mes Plaies. Et de cette façon elles Me soulageront dans Ma Passion. »
Même pour ceux qui mirent en pièces
le manteau de l’unité, 1218. Très Miséricordieux Jésus qui êtes la bonté même, Vous ne refusez pas la lumière à ceux qui Vous la demandent. Recevez dans la demeure de Votre Cœur Très compatissant les âmes des hérétiques et des apostats. Par Votre lumière ramenez-les à l’unité de l’Eglise. Ne les laissez sortir de la demeure de votre Cœur Très Compatissant, mais faites qu’elles aussi glorifient la munificence de Votre Miséricorde. Père Eternel, jetez un regard miséricordieux sur les âmes des hérétiques et des apostats qui, persistant obstinément dans leurs erreurs, gaspillèrent Vos bontés et abusèrent de Vos grâces. Ne regardez pas leurs fautes, mais l’amour de Votre fils et Son amère Passion qu’Il souffrit également pour elles, puisqu’elles aussi sont enfermées dans le Cœur Très Compatissant de Jésus. Faites qu’elles aussi glorifient Votre immense Miséricorde dans les siècles des siècles. Amen. Sixième jour 1219. « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes douces et humbles, ainsi que celles des petits enfants et plonge-les dans Ma Miséricorde. Ce sont elles qui ressemblent le plus à Mon Cœur. Elles m’ont réconforté dans Mon amère agonie. Je les voyais veiller sur Mes autels comme des Anges terrestres. Sur elles Je verse des torrents de grâces. Ma grâce ne peut être reçu que par les âmes pleines d’humilité. Ce sont ces âmes-là en qui Je mets Ma confiance. 1220. Très Miséricordieux Jésus qui avez dit Vous-même : Apprenez de Moi que Je suis doux et humble de Cœur », recevez dans la demeure de Votre Cœur Très Compatissant les âmes douces et humbles, ainsi que celles des petits enfants. Ces âmes-là plongent dans le ravissement le Ciel entier, et sont particulièrement aimées du Père des Cieux. Elles forment un bouquet de fleurs devant le trône divin dont Dieu seul respire le parfum. Ces âme-là demeurent pour toujours dans le Cœur très compatissant de Jésus, chantant sans cesse l’hymne de l’amour et de la Miséricorde pour l’éternité.
1221. L’âme véritablement humble et
douce, 1222. Père Eternel, jetez un regard de Miséricorde sur les âmes douces et humbles, ainsi que sur celles des petits enfants demeurant dans le Cœur Très Compatissant de Jésus. Ce sont ces âmes-là qui ressemblent le plus à Votre Fils. Le parfum de ces âmes montent de la terre et s’élève jusqu’à Votre trône. Père de Miséricorde et de toute bonté, je Vous implore par l’amour et la prédilection que Vous avez pour ces âmes, de bien vouloir bénir le monde entier, afin que toutes les âmes puissent chanter ensemble la gloire de Votre Miséricorde pour l’éternité. Amen. Septième jour 1223. « Aujourd’hui, amène-Moi les âmes qui vénèrent et glorifient particulièrement Ma Miséricorde et plonge-les en elles. Ces âmes-là ont le plus partagé les souffrances de Ma Passion. Ce sont elles qui ont pénétré le plus profondément en Mon âme. Elles sont le vivant reflet de Mon Cœur Compatissant. Ces âmes brilleront d’un éclat particulier dans la vie future. Aucune n’ira en enfer. Je défendrai chacune d’elles en particulier à l’heure de la mort. » 1224. Très Miséricordieux Jésus dont le Cœur n’est qu’amour, recevez dans la demeure de Votre Cœur Très Compatissant les âmes qui vénèrent et glorifient plus particulièrement l’immensité de Votre Miséricorde. Dotées de la puissance même de Dieu, elles avancent confiantes en Votre Miséricorde au millieu de tous les tourments et contrariétés. Ces âmes sont unies à Jésus et portent le poids de l’humanité entière sur leurs épaules. Elles ne seront pas jugées sévèrement, mais Votre Miséricorde les protègera au moment de l’agonie.
L’âme qui célèbre la bonté du
Seigneur Père Eternel, daignez jeter un regard de Miséricorde sur les âmes qui célèbrent et vénèrent Votre plus grand attribut : Votre infinie Miséricorde. Enfermées dans le Cœur Très Compatissant de Jésus, elles sont un vivant Evangile. Leurs mains sont pleines d’actes de miséricorde. Comblées de joie elles chantent l’hymne de la Miséricorde du Très-Haut. Je Vous en supplie, manifestez-leur Votre Miséricorde selon l’espoir et la confiance qu’elles ont mis en Vous. Que s »accomplisse en elles la promesse de Jésus qui a dit : « Je défendrai leur vie durant, comme Ma propre Gloire, les âmes qui vénéreront Mon infinie Miséricorde. Je les défendrai tout particulièrement à l’heure de la mort. » Huitième jour
1225. « Aujourd’hui, amène-Moi les
âmes qui sont au Purgatoire et plonge-les dans l’abîme de Ma Miséricorde. Que
les flots de Mon Sang rafraîchissent leurs brûlures. Toutes ces âmes Me sont
très chères, mais elles Me rendent Justice. Il est en ton pouvoir de leur
apporter quelque soulagement. 1226. Très Miséricordieux Jésus qui avez dit vouloir Vous-même la Miséricorde, voici que j’amène à la demeure de Votre Cœur Très Compatissant, les âmes du Purgatoire, qui Vous sont très chères, mais qui pourtant doivent rendre des comptes à Votre Justice. Que les flots de Sang et d’Eau jaillis de Votre Cœur éteignent les flammes du feu purificateur afin que, là aussi soit glorifiée la puissance de Votre Miséricorde.
De la terrible ardeur du feu
purificateur, Père Eternel, daignez jeter un regard de Miséricorde sur les âmes souffrant au Purgatoire, enfermées dans le Cœur Très Compatissant de Jésus. Je Vous implore par la douloureuse Passion de Jésus, Votre Fils, et par toute l’amertume dont son Ame Très Sainte fut inondée, de manifester Votre Miséricorde aux âmes qui sont soumises à Votre Justice sans défaut. Que Votre regard ne tienne compte que des mérites des plaies de Jésus, Votre Très Cher Fils, car nous croyons que Votre bonté et Votre pitié sont infinies. Neuvième jour
1227. « Aujourd’hui, amène-Moi les
âmes indifférentes et froides, et plonge-les dans l’abîme de Ma Miséricorde. Ce
sont ces âmes-là qui blessent le plus douloureusement Mon Cœur. Ce sont elles,
qui au Jardin des Oliviers, m’inspirèrent la plus grande aversion. C’est à cause
d’elles que j’ai dit : « Mon Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin
de Moi ! » 1228. Très Compatissant Jésus qui n’êtes que pitié, j’amène à la demeure de Votre Cœur Très Compatissant les âmes indifférentes et froides. Que ces âmes, dont la froideur cadavérique Vous emplit de répulsion, retrouvent la flamme de la vie au feu de Votre pur amour. Très Compatissant Jésus, usez de la Toute-Puissance de Votre Miséricorde : entraînez-les dans le brasier même de Votre amour et communiquez-leur le feu de l’amour divin, car Vous pouvez tout.
Feu et glace ensemble il ne faut
mêler, Père Eternel, jetez un regard de Miséricorde sur les âmes indifférentes, qui sont cependant enfermées dans le Cœur Très Compatissant de Jésus. Père de Miséricorde, je Vous supplie par la Passion amère de Votre Fils et par Son agonie de trois heures sur la croix, permettez que ces âmes-là célèbrent aussi l’abîme de Votre Miséricorde.
1229. O jour éternel, ô jour tant
désiré,
O jour merveilleux, moment
incomparable,
O jour très solennel, ô jour de
clarté,
O jour bienheureux, jour de
bénédiction,
O jour dont j’ai rêvé toute ma vie
durant !
Jour de délice ! Infinie suavité!
Cahier IV Inscription sur la couverture du troisième cahier :
Quatrième cahier du Petit
Journal de Sœur (Marie-) Faustine
1230. Aujourd’hui Jésus a habité
mon cœur.
O Dieu éternel enfermé dans mon
cœur,
Ce n’est pas au Séraphin que Tu
T’unis mon Dieu,
Mon cœur t’es un habitacle,
O Dieu grand et inconcevable,
J.M.J.
O Mère, Vierge immaculée,
Cracovie le 10 août 1937.
1232.
1233. J.M.J. Cracovie, le 10
août 1937 Tout est pour Vous, Jésus. De chaque battement de mon cœur, je désire glorifier Votre Miséricorde. Et autant que faire se peut, je désire encourager les âmes à faire confiance à cette Miséricorde, ainsi que Vous me l’avez vous-même commandé, O Seigneur. 1234. En mon cœur, en mon âme, c’est la nuit noire. Devant mon esprit se dresse un mur impénétrable, qui me dérobe Dieu. Cependant je ne suis pas la cause de cette obscurité. Etrange est ce tourment dont je crains de décrire ici l’étendue. Mais même dans cet état, j’essaie de Vous être fidèle. O mon Jésus, toujours et en tout, mon cœur ne bat que pour Vous 1235. 10 août 1937. Aujourd’hui je suis revenue de Rabka à Cracovie, je me sens très malade. Seul Jésus sait combien je souffre. Ces jours-ci, j’ai été tout-à-fait semblable à Jésus crucifié. Je me suis armée de patience afin d’expliquer à chaque Sœur pourquoi je ne pouvais demeurer là. C’est-à-dire que l’état de ma santé avait empiré. Quoique je sache bien que certaines Sœurs ne le demandaient pas pour partager mes souffrances, mais pour les augmenter. 1236. O Jésus, quelle obscurité m’envahit et quel néant me saisit ! Mais mon Jésus, ne me laissez pas seule, accordez-moi la grâce de la fidélité. Bien que je ne puisse connaître les mystères de Votre divine volonté, cependant, il est en mon pouvoir de dire : « Que Votre volonté soit faite. » 1237. Le 12 août. Aujourd’hui, j’ai eu un entretien avec Monsieur l’Abbé Sopocko qui, passant par Cracovie, s’arrêta un moment. Je désirais le voir, Dieu a exaucé mon désir.. Ce prêtre est une grande âme entièrement remplie de Dieu. Ma joie a été profonde et j’ai remercié Dieu pour cette grande faveur puisque je désirais le voir pour la plus grande gloire de Dieu.. 1238. O vivante Hostie, Jésus caché, Vous voyez l’état de mon âme. Je suis incapable de prononcer, de moi-même, Votre Saint Nom. Je ne peux pas allumer un feu d’amour, en mon cœur. Mais m’agenouillant à Vos pieds, je tourne vers le Tabernacle le regard de mon âme, un regard de fidélité. Même si en mon âme il y a du changement, Vous êtes, Vous, toujours le même. J’ai confiance que viendra le moment où Vous dévoilerai Votre face, et Votre enfant apercevra à nouveau Votre doux Visage. Je m’étonne, Jésus, que Vous puissiez si longtemps Vous cacher de moi, et que Vous puissiez retenir cette avalanche d’amour que Vous éprouvez pour moi. De toute son attention, mon cœur écoute, et j’attends Votre venue, unique trésor de mon cœur. 1239. Notre Seigneur Jésus prend vivement la défense de Ses représentants sur terre. Il est si fort en communion d’esprit avec eux qu’Il m’ordonne de préférer leur avis au Sien. J’ai compris combien l’intimité entre Jésus et le prêtre est grande. Ce que le prêtre dit, Jésus en prend la défense. Et souvent Il se conforme à ses désirs. Plus d’une fois Il fait dépendre de son avis, Ses rapports avec une âme. J’ai été initiée à tout ceci par une grâce particulière. Et je sais jusqu’à quel point Vous partagez avec eux pouvoir et mystère, ô Jésus, plus que Vous ne le faites avec les Anges. Je me réjouis de tout cela, car c’est pour mon bien. 1240. O mon Jésus, qu’il est difficile, lorsque quelqu’un est peu aimable avec nous et que l’on nous fait de la peine de supporter cette souffrance. C n’est qu’une petite peine. Mais c’est pour moi une peine insurmontable si quelqu’un me montre son amabilité, tout en me dressant des embûches à chaque pas. Comme il faut avoir une grande force de volonté pour aimer cette âme en Dieu. Plus d’une fois, l’âme doit aller jusqu’à l’héroïsme, afin d’aimer cette âme comme Dieu l’exige. Si l’on avait peu de contacts avec elle, il serait plus facile de la supporter. Mais si l’on vit ensemble et qu’on expérimente ceci à chaque pas, cela exige un très grand effort.
1241. Mon Jésus, imprimez-Vous en
moi, afin que je puisse Vous refléter ma vie durant. Divinisez-moi, pour que mes
actes aient une valeur surnaturelle. Faites que j’aie pour chaque âme sans
exception, amour, pitié et miséricorde.. O mon Jésus, chacun de vos Saints,
reflète en sa personne l’une de Vos vertus. Moi je désire refléter Votre Cœur
compatissant et plein de Miséricorde. Je veux le glorifier.
1242. Instruction du Père Andrasz.
15 août 1937. A la fin de notre entretien, je lui ai demandé de me permettre d’avoir des entretiens avec Notre Seigneur Jésus, comme auparavant. Il m’a répondu : « Je ne peux donner des ordres à Notre Seigneur Jésus. S’Il vous attire Lui-même vers Lui, vous pouvez vous abandonner à cette attirance, mais souvenez-vous bien de le vénérer toujours grandement, car c’est un très grand Seigneur. Si vous cherchez vraiment en tout cela la volonté de Dieu et désirez l’accomplir, vous pouvez alors être tranquille, Dieu ne permettra aucune sorte d’écart. En ce qui concerne les mortifications et souffrances, vous me rendrez compte la prochaine fois de la façon dont vous les pratiquez. Je vous laisse sous la garde de la Très Sainte Vierge Marie. »
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