Les exemples ne manquent pas qui
montrent comment Saint Joseph sait aider ceux qui ont foi en lui, et qui le
prient. Saint Bernardin de Sienne disait : “On ne peut en douter: non
seulement Jésus, dans le Ciel, ne refuse pas à Saint Joseph ces marques de
familiarité et de respect qu’iI lui donnait durant sa vie comme un fils à son
père, mais Il met encore le comble par de nouveaux égards.”
Saint Bernard disait aussi : “Il
y a des saints qui ont le pouvoir de protéger dans certaines circonstances, mais
il a été accordé à Saint Joseph de secourir dans toutes espèces de nécessités,
et de défendre tous ceux qui recourent à lui avec des sentiments de piété.”
Quant à Saint Léonard de
Port-Maurice, il affirme : “Dieu a voulu que les hommes de tout état et de
toute condition eussent quelque chose de commun avec Saint Joseph, afin qu’ils
eussent tous une confiance particulière en lui, et que tous eussent recours à
lui comme à leur avocat spécial...”
Sainte Thérèse de Jésus fut une des
plus illustres propagatrices du culte de Saint
Joseph. Dieu, en effet, lui donna
des lumières toutes nouvelles sur Saint Joseph, et elle vivra une longue vie de
relations intimes avec lui. Certains auteurs pensent en particulier, qu’elle
avait transféré sur Saint Joseph l’amour qu’elle avait éprouvé pour son père,
Don Alonso. Elle est, par ailleurs, certaine que c’est Saint Joseph qui l’avait
guérie de sa longue et terrible maladie (plus de trois ans), cette maladie tout
aussi mystérieuse que longue.
Sainte Thérèse de Jésus raconte :
“Je pris pour avocat et patron le glorieux Saint Joseph et je me recommandai
instamment à lui. J’ai vu bien clairement que c’est lui, mon père et mon
protecteur qui m’a guérie de cette infirmité, comme il m’a tirée également de
dangers très grands où il s’agissait de mon honneur et du salut de mon âme. Son
assistance m’a procuré plus de bien que je ne savais lui en demander. Je ne me
souviens pas de lui avoir jamais rien demandé, jusqu’à ce jour, qu’il ne me
l’ait accordé. C’est une chose merveilleuse que les grâces insignes dont Dieu
m’a favorisée, et les dangers tant du corps que de l’âme dont il m’a délivrée
par la médiation de ce bienheureux Saint.
Le Très-Haut donne seulement
grâce aux autres saints pour nous secourir dans tel ou tel besoin. Mais le
glorieux Saint Joseph, je le sais par expérience, étend son pouvoir à tous nos
besoins. Notre Seigneur veut nous faire comprendre que, s’il a été soumis sur la
terre à celui qu’il appelait son père, parce que c’était son gouverneur qui
pouvait lui commander, il défère également au Ciel, à toutes ses suppliques. Et
c’est ce qu’ont vu comme moi par expérience, d’autres personnes auxquelles
j’avais conseillé de se recommander à cet incomparable protecteur. A l’heure
actuelle, (nous sommes au XVIè siècle), elles sont nombreuses les âmes
qui l’honorent et constatent de nouveau la vérité de ce que j’avance.
Thérèse dit : “Il m’a toujours
exaucée au-delà de mes prières et de mes espérances... Je faisais célébrer sa
fête avec toute la solennité dont j’étais capable... Je voudrais porter tout le
monde à la dévotion envers ce glorieux Saint tant j’ai d’expérience de son
crédit auprès de Dieu. Je n’ai jamais vu personne lui être vraiment dévoué et
l’honorer d’un culte spécial sans avancer dans la vertu, car il favorise
singulièrement les progrès spirituels des âmes qui se recommandent à lui. Depuis
plusieurs années, ce me semble, je lui demande une grâce le jour de sa fête, et
je l’ai toujours obtenue. Lorsque ma supplique est quelque peu de travers, il la
redresse pour le plus grand bien de mon âme... Je demande, pour l’amour de Dieu,
à celui qui ne me croirait pas d’en faire l’épreuve. Il verrait, par sa propre
expérience, combien il est avantageux de se recommander à ce glorieux patriarche
et d’avoir pour lui une dévotion spéciale. “
Thérèse considère aussi Saint
Joseph comme son maître à prier : “Les âmes d’oraison, en particulier, lui
doivent un culte tout filial. Je ne sais d’ailleurs comment on pourrait penser à
la Reine des Anges et à toutes les souffrances qu’elle a endurées en compagnie
de l’Enfant Jésus, sans remercier Saint Joseph de les avoir si bien aidés alors,
l’un et l’autre. Que celui qui n’a pas de maître pour lui enseigner l’oraison
prenne ce glorieux Saint pour guide, et il ne risquera pas de s’égarer.... Il
m’a bien montré ce qu’il est, puisque, grâce à lui, j’ai pu enfin me lever,
marcher et être délivrée de ma paralysie.”
[1]
Thérèse eut la chance, alors
qu’elle était tellement incomprise de la plupart des confesseurs à qui elle
devait s’adresser, de rencontrer Saint Pierre d’Alcantara, et sa consolation fut
grande. Elle raconte : “Aussi je ne me lassais pas de rendre grâce à Dieu et
à mon glorieux Saint Joseph. Il me semblait que ce Saint m’avait amené lui-même
ce religieux qui était commissaire général de la custodie placée sous son
vocable.”
Afin de mener une vie plus
parfaite, qui rendrait gloire à Dieu, Thérèse pense à la fondation d’un nouveau
monastère de carmélites plus fidèle à la Règle d’origine que celui dans lequel
elle vit. N’était-ce pas une utopie?... Thérèse raconte: “Un jour, après la
communion, le Sauveur me commanda de travailler de toutes mes forces à
l’établissement de ce monastère. Il donnait la plus complète assurance que cet
établissement se ferait et que lui-même y serait fidèlement servi. Il voulait
qu’il fut dédié à Saint Joseph: ce Saint nous protégerait à l’une des portes,
Notre-Dame, à l’autre, et lui-même, le Christ, se tiendrait au milieu de nous.”
[2]
Comme on le voit, Jésus lui-même
établit Saint Joseph, protecteur du nouveau monastère, dès le début de sa
gestation. Désormais elle appelera Saint Joseph son Père, et lui confiera le
soin de son entreprise. “Un jour, me trouvant dans la nécessité, ne sachant
que devenir, ni comment payer quelques ouvriers, Saint Joseph, mon véritable
Père et soutien, m’apparut. Il me fit comprendre que l’argent ne me manquerait
pas et que je devais passer le marché avec les ouvriers.. Je lui obéis sans
avoir le moindre denier, et le Seigneur pourvut à tout d’une manière qui parut
digne d’admiration.”
Les travaux commencent. Le jour de
la fête de l’Assomption, pendant la messe, Thérèse tombe en extase. On la
revêtait d’une robe éclatante de blancheur et de lumière, puis elle aperçut
Marie à sa droite et Joseph à sa gauche. Marie lui fit savoir qu’elle lui
procurait beaucoup de joie à cause de sa dévotion à Saint Joseph et lui donna
l’assurance que la fondation du monastère réussirait, et que Notre Seigneur,
elle, Marie, et Saint Joseph y seraient fidèlement servis. Elle ne devait pas
craindre d’y voir la ferveur se refroidir, car elle et Saint Joseph les
protégeraient.[3] En
effet, le jour de la fête de la Saint Barthélémy, quelques postulantes prirent
l’habit, le Saint Sacrement fut placé dans la chapelle, avec toutes les
autorisations nécessaires. “Ainsi se trouva érigé notre monastère de notre
très glorieux Père Saint Joseph, en l’année 1562... Profonde était ma
consolation d’avoir accompli ce que le Seigneur m’avait tant recommandé, et
d’avoir élevé dans cette localité une église de plus, érigée sous le vocable de
mon glorieux Père Saint Joseph qui n’y en avait point encore.”
[4]
Sainte Thérèse de Jésus fonda
encore de nombreux monastères, et ses pratiques les plus familières étaient de
toujours les dédier à son saint protecteur. Elle y implantait son culte; elle
les mettait sous sa garde, et faisait placer au-dessus d’une des portes la
statue de ce glorieux patriarche. Saint Joseph, en échange, lui fit ressentir
les effets de son bienveillant patronage.
Voici une autre histoire qui en dit
long sur l’intimité existant entre Thérèse de Jésus et Saint Joseph.
Thérèse, partie de Valladolid, s’en
allait vers Veas, en Andalousie, pour y fonder un nouveau monastère. Dans les
défilés de la Sierra Morena, les conducteurs s’égarent. Bientôt le chariot est
comme suspendu au-dessus du précipice :
“Prions, mes filles, dit
Thérèse! Demandons à Dieu, par l’intercession de Saint Joseph, de nous délivrer
de ce péril. A l’instant même, une voix crie avec force:
– Arrêtez, arrêtez! Vous êtes
perdus si vous avancez.
– Mais comment nous tirer de ce
mauvais pas?
– Inclinez vos chariots de tel
côté, reprend la voix, et rebroussez chemin.
Les indications sont suivies...”
On retrouve bientôt la bonne route, et les guides s’élancent du côté d’où
parvenait la voix pour remercier, mais ils ne trouvent personne.“Vraiment,
dit Thérèse, je ne sais pourquoi nous laissons aller ces bonnes gens, car
c’est la voix de Saint Joseph que nous avons entendue, et ils ne le trouveront
pas.”
Jean de la Croix était alors
prieur au Monastère de Los Martires, à Grenade en
1582 et se rendait souvent
chez des religieuses carmélites de la même ville. Un jour ne pouvant s’y rendre,
il avait envoyé à sa place le père Pedro de la Encarnacion et le père
Evangelista. Comme ces pères arrivaient près d’une place située près du couvent,
ils rencontrèrent un homme de belle prestance, à l’aspect vénérable. ”Cet
homme s’approche d’eux et leur demande:
– D’où venez-vous, mes Pères?
– De chez les religieuses
déchaussées, répond le Père Pedro.
– Vos révérences ont bien
raison, de prêter leur ministère à ces soeurs, car cet Ordre plaît beaucoup à
Notre Seigneur, et sa majesté l’estime beaucoup. C’est pourquoi il ira en
grandissant beaucoup.
Puis l’homme ajoute :
– Pères, pour quelle raison cet
Ordre a-t-il une si grande dévotion à Saint Joseph?
– C’est que notre Sainte mère
Thérèse lui était très dévote -elle venait de mourir- parce qu’il l’avait
beaucoup aidée dans toutes ses fondations et lui avait beaucoup obtenu du
Seigneur, ce qui fait que toutes les maisons qu’elle a fondées, elle les a mises
sous le patronage de Saint Joseph.
– Et il y aura bien d’autres
faveurs, réplique le mystérieux personnage. Que vos révérences me regardent en
face et qu’elles gardent une grande dévotion à ce Saint, car elles ne lui
demanderont rien sans l’obtenir.
L’étranger disparut soudain.
Arrivés au Couvent de los Martires, ils racontent tout à leur prieur. Mais frère
Jean de la Croix n’a l’air de s’étonner de rien et dit:
– Taisez-vous! Vous ne l’avez
pas reconnu? Sachez que c’était Saint Joseph! Allez vous agenouiller devant lui.
Mais ce n’est pas pour vous qu’il est venu, mais bien pour moi qui n’avais pas
pour lui toute la dévotion que je devais, mais je l’aurai à l’avenir!”
Sainte Jeanne de Chantal était
profondément attachée à Saint Joseph. Elle se plaisait à l’appeler: le cher
saint que notre coeur aime. Elle aimait à porter dans le livre de ses règles une
petite image de la Sainte Famille: “Tous les jours, lorsque je commence notre
lecture, je baise les pieds à Jésus, Marie et Joseph... Quand Jésus, Marie
et Joseph ne sont pas sur un autel, je n’y trouve pas tout ce que je cherche.”
Dès l’instant où l’Évangile parle
de Joseph, il nous le présente comme “juste”. C’est sa seule perfection, et
elle est parfaite.
Le nom de Joseph signifie
“accroissement, progrès”.
Thérèse connut Saint Joseph dès sa
plus tendre enfance car il était le protecteur des “Buissonnets”. Dans
l’”Histoire d’une âme” elle écrit : “Je priais Saint Joseph de veiller sur
moi. Depuis mon enfance, ma dévotion pour lui se confondait avec mon amour pour
la Très Sainte Vierge. Chaque jour je récitais la prière: “Ô Saint Joseph, père
et protecteur des vierges...”
“Bernadette va recueillir avec
tout son être l’appel de Marie et donner à son Père Joseph toute l’importance et
le poids que Dieu lui donne. Ce que Marie demande à Massabielle, cette profonde
compassion pour les pécheurs, ces gestes simples auxquels le corps aide l’âme à
s’ouvrir, dans un renversement insensé, cet amour de choix pour la pauvreté, la
simplicité, la pureté, tout cela ne prend vraiment son sens que lorsque, sur les
pas de Bernadette suivant Jésus à douze ans, l’âme humaine apprend à descendre
avec eux, Joseph et Marie.”
[5]
Le Frère André, Alfred Bessette,
est probablement l’un des plus grands apôtres de Saint Joseph que l’Église ait
connus. Canadien, né dans la région de Montréal, il devient orphelin très tôt:
il perd son père alors qu’il n’avait que quatre ans, et sa mère à l’âge de dix
ans. Les dix enfants de la famille sont dispersés chez des parents charitables,
et le petit Alfred est confié au foyer de Timothée Nadeau, époux de sa tante
maternelle. Malgré sa chétive santé, Alfred doit commencer à travailler très
jeune, comme garçon de ferme. Déjà il passe ses loisirs à prier et à causer avec
Saint Joseph qui le prépare à sa future mission.
En 1870 Alfred Bessette est admis
comme frère convers chez les Frères de Sainte-Croix, et devient Frère André.
1870, c’est l’année pendant laquelle le pape Pie IX établit Saint Joseph Patron
de l’Église universelle. Le 22 août 1872 Alfred fait sa première profession
religieuse, et est nommé portier au collège Notre-Dame. Il le restera pendant...
quarante ans.
Ouvrier, chargé d’humbles besognes,
Frère André cherche à imiter de plus en plus Saint Joseph; il continue aussi à
converser avec lui.
Peu à peu, Frère André, lumineux de
charité: on l’appelle “Le Bon Frère”, est investi de faveurs divines
extraordinaires, en vue de sa future mission. Les guérisons miraculeuses se
multiplient grâce à son intervention, ou plutôt, comme il aime le répéter, grâce
à l’intervention de Saint Joseph qui agit par lui. Bientôt les foules commencent
à affluer. Mais Frère André, le plus souvent méconnu de ses propres frères en
religion, lesquels le prennent pour un original, reste l’humble serviteur du
Seigneur et de Saint Joseph.
Sur le Mont Royal, surmontant le
collège, un terrain en friche est convoité par les autorités du collège qui
craignent d’y voir s’y installer un hôtel trop bruyant. Après de longues
attentes accompagnées de déceptions, le terrain est enfin acquis, le 22 juillet
1896: plusieurs médailles de Saint Joseph avaient été enfouies par Frère André
et par le Frère Aldéric, grand fervent lui aussi, de Saint joseph, surtout
depuis qu’il avait été miraculeusement guéri par Frère André. Frère André
commence à aménager le petit sentier: le boulevard Saint Joseph, qui monte
jusqu’au terrain. Puis un petit kiosque est érigé, et Frère André, qui y a logé
une statuette de Saint Joseph, vient y prier souvent.
Dès lors les prodiges vont se
multiplier, et les épreuves aussi. Frère André connaîtra les moqueries, les
oppositions, les trahisons, les suspicions et même les calomnies. Cependant,
malgré les luttes acharnées, un premier oratoire pourra être construit en 1904.
Progressivement agrandi, l’oratoire sera béni en 1912 par l’Archevêque de
Montréal. La basilique pourra commencer à s’élever, en 1924. Les travaux
n’avancent pas vite, le chantier s’enlise... Mais en 1937 après un étonnant
geste de foi de Frère André: “ Vous voulez couvrir la basilique? Installez la
statue de Saint Joseph dans les murs ouverts, et lui, il trouvera bien de quoi
se couvrir.”
Frère André mourra en 1937 avant
d’avoir vu la fin de son oeuvre, mais sa mission était accomplie.
La vie de Frère André est mystère.
L’apôtre de Saint Joseph se sait ignorant, mais il sait aussi que Dieu lui fait
accomplir des merveilles. Après des guérisons spectaculaires, il s’excuse:
“Vous savez, ce n’est pas ma faute, c’est la faute du Bon Dieu.” Ou encore;
“C’est la faute de Saint Joseph.” Car Frère André a deux secrets:
d’abord une foi inébranlable en la Providence et une confiance invincible en
Saint Joseph, ensuite une grande humilité qui est le secret de sa force.
Ami des pauvres, des malades, et
des affligés, Frère André est aussi et surtout l’Apôtre de Saint Joseph, son
compagnon assidu et son confident de toujours. A ceux qui viennent vers lui pour
être guéris de leurs maladies ou de leurs infirmités, Frère André demande de
prier Saint Joseph. Lui même prie souvent Saint Joseph et il suggère à ses amis
les prières adaptées à leurs besoins “Ô bon Saint Joseph, faites pour moi ce
que vous feriez si vous étiez à ma place, sur cette terre, avec une nombreuse
famille et un commerce difficile à administrer. Bon Saint Joseph du Mont Royal,
aidez-moi et exaucez-moi.”
Frère André est un frère convers
sans instruction. Sa mission, ce n’est pas de concevoir une théologie de Saint
Joseph, mais de le rendre vivant parmi nous. La mission de Frère André, c’est
aussi de nous montrer comment la dévotion au patriarche de Nazareth “dirigée
vers l’humanité souffrante de Jésus en passant par Marie, dans une cycle parfait
conduit à la Trinité. Fréquemment Frère André invite à prier l’Esprit divin, et
il éprouve une grande dévotion à Notre-Dame du Saint-Esprit. Docile à
l’inspiration divine, il suit l’enchaînement normal du culte liturgique: Saint
Joseph, Marie, Jésus souffrant, la Trinité, Père, fils et Esprit.”
[6] Le
Frère André a, en effet, bien compris que le point de contact avec le monde
divin, c’est l’humanité souffrante de Jésus que Saint Joseph aide à pénétrer. Et
c’est cette science de Jésus souffrant qui a amené Frère André à la connaissance
amoureuse de la Trinité.
[1] Sainte
Thérèse d’Avila “vie écrite par elle-même” Éditions du Seuil.
[2] Sainte
Thérèse d’Avila “vie écrite par elle-même” (Chapître 32)-
Éditions du Seuil.
[3]
Sainte Thérèse d’Avila “Vie écrite par elle-même” (Chapître 33)-
Éditions du Seuil.
[4]
Sainte Thérèse d’Avila “Vie écrite par elle-même” (Chapître 36)-
Éditions du Seuil.
[5] André
Doze, ”Joseph, Gardien du Shabbat “- Éditions des Béatitudes.
[6] “Le
Frère André” de Henri-Paul Bergeron - Publié par l’Oratoire de Saint
Joseph, de Montréal. Édition de 1988.
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