Saint Jean Eudes et le Cœur de Jésus

 

Jésus est l’ami de Saint Jean Eudes

Voici comment Jean Eudes s’adresse à Jésus: “O très cher Jésus... je ne désire plus rien, sinon Vous aimer... Que toute ma vie soit un perpétuel sacrifice d’amour et de louange vers Vous.”

Pour Jean Eudes, le Cœur de Jésus est aussi un refuge: “Notre très Saint Sauveur nous a donné aussi son divin Cœur pour être notre refuge et notre asile dans tous nos besoins. Ayons-y recours dans toutes nos affaires. Cherchons-y notre consolation dans nos tristesses et afflictions.”

Calomnié, Jean Eudes ne cherche pas à se défendre, mais à imiter Jésus. “Je ne trouve point dans l’Évangile que notre divin et adorable Maître ait employé les moyens qui sont marqués dans votre lettre...  pour se défendre de l’injustice et de la cruauté...Je ne puis me résoudre à faire autre chose sinon de tâcher de l’imiter dans sa patience et dans son silence.”  [1]

Car Jean Eudes s’est offert à Jésus comme hostie et victime,

Jean Eudes, par vœu, le 25 mars 1637, s’offre à Jésus, “en qualité d’hostie et de victime qui doit être sacrifiée à sa gloire et à son pur Amour.” Jean Eudes adore d’abord Jésus dans le martyre qu’il a souffert sur la Croix et auquel Marie a communié, puis il continue: “Je m’offre et me donne, je me voue et consacre à Vous, ô Jésus mon Seigneur, en l’état d’hostie et de victime, pour souffrir en mon corps et en mon âme... toutes sortes de peines... et même pour répandre mon sang et Vous sacrifier ma vie par tel genre de mort qu’il Vous plaira et ce, pour votre seule gloire et votre pur Amour.”

La dernière phrase et la signature sont écrites du propre sang de Jean Eudes : “Que toute ma vie soit un perpétuel sacrifice d’amour et de louange vers Vous... Fait à Caen, en l’Oratoire de Jésus, le 25e de mars 1637.”  [2]

Jean Eudes a vécu pleinement cette oblation. Il s’est offert à Dieu pour que Dieu se serve de lui pour anéantir le péché dans le monde, et y établir le Règne de l’Amour de Dieu. Le combat contre le péché lui était familier et il avait compris que le péché “démembre Jésus-Christ, il lui arrache un de ses membres pour le faire membre de Satan.”  D’où sa prière d’offrande: “Je vous supplie... de m’accorder une grâce: que le désir que j’ai de vous louer et aimer éternellement ne soit point anéanti, mais... qu’il demeure toujours devant Vous... pour vous protester que je Vous aime de tout mon grand cœur qui n’est autre que le Vôtre, que vous m’avez donné en Vous donnant Vous-même à moi, et tant de fois...” Ou encore: “Regardant la très sainte, très sage et très bonne volonté de Dieu, je crie du plus profond de mon cœur: Oui ! Père juste; oui, Père très bon, puisque telle est ta volonté.”  [3] 

Si petits que nous soyons, le don que nous offrons à Dieu est immense, aussi grand que l’univers, car le Cœur de Christ nous appartient, et, avec lui, le Père nous a tout donné. Jean Eudes contemple l’influence cosmique du Cœur du Christ qui atteint tous les êtres et les fait vivre: “Rien n’échappe à la chaleur de son Amour. Oui, Cœur de feu, diffuse-toi par tout l’univers.”  [4] Plus tard, en 1661, il explicitera ce qui était l’âme de son offrande de lui-même: “une immense compassion pour les pécheurs, pour ceux qui risquent de se perdre, faute d’hommes apostoliques qui leur prêtent main.” [5] 

Ainsi, le prêtre, contemplant la vie de notre Seigneur, le Souverain Prêtre et le grand Pasteur des âmes, devient “une image vive de Jésus-Christ en ce monde, et de Jésus-Christ veillant, priant, prêchant, catéchisant, travaillant, suant, pleurant, allant de ville en ville et de village en village, souffrant, agonisant, mourant et se sacrifiant soi-même pour le salut de toutes les âmes crées à son image et semblance.”  [6] 

Jean Eudes croyait à la vie mystique dans laquelle c’est l’Esprit-Saint qui a toute l’initiative. Il parlait souvent de la contemplation qui est “un très unique regard et une très simple vue de Dieu, sans discours ni raisonnement, ni multiplicité de pensée...” et qui s’accomplit dans le secret du cœur. Aussi donnait-il de précieux conseils sur la prière silencieuse :

            – soutenir l’âme dans sa vigueur par un minimum d’activité... des aspirations ou des cris intérieurs tels que : “O sainteté de mon Dieu! ô Jésus, je Vous adore et je me donne à Vous pour entrer dans toutes les dispositions et intentions que Vous avez eues et que Vous avez voulu que nous eussions tous...”

            – purifier souvent son intention, son désir, accueillir humblement et sans inquiétude les périodes plus désertiques ou plus troublées, renoncer à toute possessivité, se tenir dans une humble action de grâce...

            – ne s’enfermer dans aucune démarche rigide, mais se tenir le cœur libre et disponible aux invitations de l’Esprit-Saint.  [7]

Se tenir disponible aux invitations de l’Esprit-Saint: cela, Jean Eudes l’a fait durant toute sa vie, à travers tous les renoncements qui l’ont libéré de lui-même, chemin de conversion à l’humilité et à la douceur du Christ. La sérénité de Saint Jean Eudes dans sa vieillesse s’était tissée jour après jour à travers ces renoncements qui l’ont conduit vers une nouvelle profondeur d’abandon à Dieu et de consentement à son vouloir aimant, “jusqu’à laisser battre en lui un cœur ouvert, dilaté et épanoui par la ferveur de la sainte charité.”  [8]

Jean Eudes est mort en 1680. Mais dès 1671, il avait fait un testament dans lequel il demande pardon et offre son pardon: “Je dis, ô Père céleste, du plus profond de mon cœur, pour tous ceux qui m’ont offensé en quelque façon que ce soit..., Père, Pardonne-leur, ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient!” 

En union avec Jésus, il se remet entre les mains du Père. Il dépose son âme “dans le très aimable Cœur de Jésus et de Marie, fournaise ardente de l’Amour éternel, les suppliant de l’embraser, consumer et transformer en une très pure flamme de ce divin Amour... De toute l’étendue de ma volonté, je me donne à l’Amour incompréhensible par lequel mon Jésus et sa bonne Mère m’ont donné leur très aimable Cœur d’une manière spéciale, et en union de ce même amour, je donne ce même Cœur comme une chose qui est à moi et dont je puis disposer pour la gloire de mon Dieu. Je le donne à la petite congrégation de Jésus et Marie, pour être le partage, le trésor, le patron principal, le cœur, la vie, la règle des vrais enfants de cette congrégation.” Enfin, Jean Eudes souhaite que “son dernier soupir soit un acte de très pur amour  envers Jésus... Viens, viens, viens, Seigneur Jésus!”  [9]  

L’union à Dieu

Le don total de sa personne à Dieu, don sans cesse renouvelé, devait conduire inévitablement Jean Eudes à un état presque constant d’union à Dieu, et d’union à sa très sainte volonté.

Dans son livre le Royaume de Jésus, publié en 1637, Jean Eudes écrivait déjà : “Ô Jésus, que toutes mes conversations avec le prochain soient consacrées à l’honneur des divines conversations que Vous avez eues en la terre avec les hommes. Faites-moi participant, s’il vous plaît, de l’humilité, douceur, modestie et charité en lesquelles Vous avec conversé avec toutes sortes de personnes.”  [10] Plus tard, en 1662: “Dieu nous garde de faire jamais notre volonté et nous fasse la grâce de reconnaître que nous n’avons pas d’autre affaire en ce monde que de faire en tout et partout la sienne, avec un grand cœur et un grand amour.”  [11] 

En 1668, au seuil de la vieillesse, Saint Jean Eudes éprouva le besoin de renouveler l’offrande de sa jeunesse en écrivant un long contrat d’une Sainte alliance avec la très sacrée Vierge Marie, Mère de Dieu,  dans lequel il écrivait: “Comme l’époux et l’épouse doivent demeurer dans la même maison, je souhaite aussi de demeurer avec vous dans le très aimable Cœur de Jésus , qui est votre cœur .”  [12] 

Jean Eudes était doté d’un tempérament autoritaire et dominateur qu’il eut à vaincre tout au long de sa vie, et la sérénité de ses dernières années fut le fruit d’un long travail de Dieu en lui, et d’une longue familiarité avec Jésus et Marie. “Il dut souvent contempler Jésus dans sa très profonde humilité ou dans sa très grande patience, mansuétude et bénignité. Il s’est donné à lui pour entrer dans son esprit d’humilité et de douceur, pour que Jésus lui-même anéantisse ce qui s’opposait en lui à ces vertus, et les fasse vivre et régner en son cœur.”  [13]

Pour conclure ce chapitre sur le Cœur de Jésus tel que l’a compris Saint Jean Eudes, peut-être n’est-il pas inutile de citer le cri de sa foi.

“Si je me croyais, je ne voudrais jamais tenir d’autre langage que celui de JÉSUS, et je ne dirais ni écrirais jamais que cette seule parole: JÉSUS. JÉSUS est un nom admirable qui, par sa grandeur immense, remplit le ciel et la terre, le temps et l’éternité, tous les esprits et tous les cœurs des anges et des saints, et qui remplit et occupe même durant toute l’éternité la capacité infinie du Cœur de Dieu... ce serait un saint et délicieux langage si, en la terre, on pouvait parler et se faire entendre sans proférer autre chose que  cette aimable parole: JÉSUS, JÉSUS. Tant que le cœur me battra dans la poitrine... je ne prêcherai ni écrirai jamais autre chose que JÉSUS et je ne veux point avoir de vie ni d’esprit, ni de langue, ni de plume, que pour annoncer de bouche et par écrit les merveilles et les miséricordes de ce glorieux Nom... Mais j’aimerais beaucoup mieux un coeur pour l’aimer qu’une plume et qu’une langue pour en écrire et en parler. Seigneur, vous pouvez me donner l’un et l’autre, c’est ce que j’espère de votre infinie bonté.”  [14]

La fête du Cœur de Jésus

La fête du Cœur de Jésus, instituée à l’initiative de Jean Eudes, a été célébrée pour la première fois le 20 octobre 1672. Son but est de rendre à ce divin Cœur les hommages auxquels il a droit, hommages que l’on peut résumer ainsi :

            “adorer le Cœur d’un Dieu, du Fils unique de Dieu et d’un Homme-Dieu.

            “louer, bénir, glorifier et remercier ce Cœur infiniment libéral pour tout l’Amour qu’Il a porté et portera à jamais au Père éternel, à sa très sainte Mère, à tous les anges, à tous les saints, à toutes les créatures et à nous spécialement.

            “demander pardon à ce très bon Cœur de toutes les douleurs, tristesses, angoisses et martyres très sanglants qu’Il a soufferts pour nos péchés.

            “aimer cordialement et fervemment (sic) ce Cœur tout aimable et l’aimer au nom de ceux qui ne L’aiment point, et Lui offrir tout l’amour de tous les cœurs qui lui appartiennent.”  [15] 

Comme on le voit, l’Amour est l’acte dominant de la dévotion au Cœur de Jésus.

L’influence des bénédictines d’Helfta, Gertrude et Mechtilde, a, en quelque sorte, cristallisé les intuitions de Jean Eudes sur le Cœur de Jésus, et c’est à partir de la fête du Cœur de Marie qu’est née la fête du Cœur de Jésus, dont la Messe a été surnommée “la Messe de feu” [16] 

Le Cardinal Satolli disait, au début du XXe siècle, en parlant des Offices composés par le Père Eudes: “Ces Offices sont empreints d’une piété si suave et si ardente que seul le cœur d’un saint peut rencontrer de pareilles formules.” C’est l’éternel Amour éclatant en notes suppliantes et attendries. [17]

Dans l’Office de la fête, le Père Eudes cite Saint Bonaventure, François de Sales et Bérulle, mais son expression liturgique s’enrichit d’intuitions ou de révélations personnelles: “C’est une grâce inexplicable que notre très aimable Sauveur nous a faite de nous avoir donné dans notre Congrégation le Cœur admirable de sa très Sainte Mère; mais sa bonté, qui est sans bornes, ne s’arrêtant pas là, a passé bien plus outre en nous donnant son propre Cœur... Il nous a fait ce grand don dès la naissance de notre congrégation... La divine Providence a voulu faire marcher la fête du Cœur de la Mère avant la fête du Cœur du Fils pour préparer les voies dans les cœurs des fidèles à la vénération de ce Cœur adorable...”   [18] 

Jean Eudes prévient, à l’avance, les objections qui ne manqueraient pas de survenir: “Si on objecte la nouveauté de cette dévotion, je répondrai que la nouveauté dans les choses de la foi est très pernicieuse, mais qu’elle est très bonne dans les choses de la piété. Autrement, il faudrait réprouver toutes les fêtes qui se font dans l’Église, qui ont été nouvelles quand on a commencé à les célébrer.”

Jean Eudes respectait la tradition de toutes ses forces, mais il croyait aussi que Dieu crée sans cesse du neuf.

Remarque:

Dès 1674, les bénédictines de l’Abbaye royale de Montmartre, où le Père Eudes avait coutume de se rendre, introduisirent dans leur propre, la fête du Cœur de Jésus, soit deux siècles avant l’érection de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. [19] 

cœur du Seigneur Jésus

Après avoir connu l’amour de Saint Jean Eudes pour le Cœur de Jésus, n’avons-nous pas, nous aussi, envie de contempler Jésus, et de chanter tout l’Amour de son Cœur ? C’est ce à quoi nous allons nous efforcer.

Cœur du Seigneur Jésus, blessé d’amour pour nous, Cœur de Jésus je Vous adore... Cœur de Jésus Sauveur, venu pour nous montrer l’Amour, je Vous adore et je Vous aime... Cœur de Jésus Amour, brûlant d’Amour pour nous, je Vous contemple et je Vous aime...

Cœur de Jésus, blessé par une lance, ton sang coule pour nous. Cœur de Jésus-Amour ton Sang est une source, c’est ma source de Vie, c’est ma source d’Amour. Cœur de Jésus ouvert, ouvert par ton Amour, Tu es ma Fontaine de Vie, ma Fontaine d’Amour. Ton Sang est une eau vive, c’est l’eau d’éternité, l’eau qui vivifie tout et qui purifie tout.

Cœur de Jésus, ton Sang est comme un fleuve qui vient semer la Vie, qui vient donner la paix, et répandre la grâce pour les foules immenses qui laveront leurs robes dans ses eaux cristallines. Cœur de Jésus, Agneau immolé, Agneau vainqueur, nous venons tous vers Toi. Nous venons tous vers ce fleuve de Vie pour y laver nos robes et pour les purifier dans le Sang de l’Agneau.

Cœur de Jésus, Cœur de l’Agneau de Dieu, Tu nous accueilles tous... À tous Tu nous dis: “Venez ! Venez, Je suis la Vie, venez, Je suis l’Amour. Venez Je vous attends. Venez Vous reposer dans mon Cœur, je referai vos forces, je Vous rendrai la Vie, Je vous rendrai l’amour. Venez, vous serez tous purifiés. Venez, et dans ma paix je vous ferai renaître.” 

Jésus, mon doux Amour, Jésus, mon seul Amour, mon merveilleux Amour, mon indicible Amour... Jésus, mon cher Amour, je ne cherche que Toi. Jésus, je Te prie pour nous tous, pour tous les hommes que Tu aimes. Jésus, mon doux Amour, mon merveilleux Amour, je Te prie pour les hommes qui Te cherchent et pour ceux qui ne Te cherchent pas. Accueille-les Jésus, dans tes bras, dans ton Cœur, qu’ils entrent dans ton Corps pour construire ton Royaume, pour glorifier ton Nom, pour que ta volonté: la Volonté de Dieu, se fasse sur la terre, se fasse dans les cœurs, se fasse dans les Cieux.

Jésus, mon tendre Amour, je sais que ton Cœur m’aime, j’en suis émerveillé. Jésus, mon délicieux Amour je me plonge en ton Cœur pour contempler l’Amour, je me cache dans ton Cœur, je fonds dans ton Amour, je me perds dans tes grâces, je suis en paix, je T’aime. Jésus, je me cache dans ton Cœur, je deviens Toi, je T’aime. Jésus, je deviens Toi car ton Sang c’est le mien depuis que  mon cœur lié au Tien, bat au rythme du Tien.

Jésus, apprends-moi, je T’en prie les mots de Dieu pour dire l’Amour. Vois, mes lèvres ne savent que balbutier et répéter sans cesse mes pauvres mots humains, ces mots si limités, si pauvres, si incapables de Te chanter l’Amour, l’Amour dont Tu nous aimes, l’amour que j’ai pour Toi.

Cœur du Seigneur Jésus, blessé d’Amour pour nous, Cœur de Jésus Sauveur ouvert pour laisser couler ton Sang, ta Vie que Tu nous donnes, pour nous donner l’Amour... Cœur de Jésus, je T’aime et je T’adore. Cœur blessé, Cœur ouvert, laisse-moi me laver dans ton Sang, laisse-moi purifier ma robe, et laisse-moi T’aimer, T’aimer à la folie, T’aimer plus que moi-même, T’aimer à en mourir.

Cœur de l’Agneau de Dieu, de l’Agneau immolé, apprends-nous à T’aimer comme Tu veux être aimé.


[1]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 31.

[2]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 4.

[3]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 22.

[4]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 29.

[5]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 22.

[6]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 27.

[7]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 19.

[8]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 33.

[9]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 34.

[10]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 5.

[11]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 22.

[12]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 26.

[13]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 33.

[14]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 34.

[15]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 31.

[16]  “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 29.

[17]  Le Bienheureux Jean Eudes” de Ch. LEBRUN - Éditions P. LETHIEULLEUX - Chapitre 2.

[18] “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 29.

[19] “Saint Jean Eudes” de Paul MILCENT - Éditions du CERF - Chapitre 29.
 

 

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